Une fois n’est pas coutume, les dames du SGHBC feront la longue route qui mène à Vergeze, samedi soir, pour y défier leur adversaire du jour. Avec l’ambition de construire une belle fin de saison malgré une spirale négative qui s’éternise.
Les déplacements se suivent et, malheureusement, se ressemblent. Alors qu’elles doivent de nouveau prendre la route pour disputer une rencontre, c’est du côté de Vergeze que les Saint Gironnaises se rendront pour poursuivre leur saison.
Une saison complexe, qui a pris un tournant plus négatif ces dernières semaines, et qui voit un maintien hypothétique au plus haut niveau régional s’éloigner de semaine en semaine, mais qui ne voit pas les Couserannaises renoncer pour autant.
Il ne leur manque à la fois trois fois rien, mais également bien trop de choses pour espérer inverser une tendance qui dure dans le temps, sans vouloir s’estomper. Car, si à chaque partie les Ariégeoises rivalisent par période avec leur adversaire du soir, elles paient très cher les temps faibles, trop longs et trop récurrents dans lesquels elles plongent dès que le doute s’empare du collectif.
Les Oranges et Bleues le savent : elles ont besoin d’un déclic pour espérer vivre une fin de saison à la hauteur de leurs envies et de leur investissement. Une fin de saison qui ne passe ni par un maintien coûte que coûte, mais qui passerait bien par retrouver le parfum de la victoire pour se payer des efforts consentis. Et, avant même cela, par ce sentiment de rivaliser pendant une heure avec un adversaire qui n’est pas non plus à des années lumières en termes de jeu.
Face à Vergeze, un adversaire peu voire pas connu des visiteuses, l’objectif sera donc de mieux gérer le rythme de la partie et de ne pas s’exposer aux attaques adverses en multipliant les pertes de balles. Si une victoire serait évidemment la bienvenue, l’essentiel sera ailleurs lors de ce nouveau voyage : la bande à Durrieu voudra tenir son plan de jeu le plus longtemps possible et rester à portée de tir de leur adversaire pour tenter d’installer le doute. Car, si celui-ci venait à changer de camp, tout serait alors possible.
Une saison complexe, qui a pris un tournant plus négatif ces dernières semaines, et qui voit un maintien hypothétique au plus haut niveau régional s’éloigner de semaine en semaine, mais qui ne voit pas les Couserannaises renoncer pour autant.
Il ne leur manque à la fois trois fois rien, mais également bien trop de choses pour espérer inverser une tendance qui dure dans le temps, sans vouloir s’estomper. Car, si à chaque partie les Ariégeoises rivalisent par période avec leur adversaire du soir, elles paient très cher les temps faibles, trop longs et trop récurrents dans lesquels elles plongent dès que le doute s’empare du collectif.
Les Oranges et Bleues le savent : elles ont besoin d’un déclic pour espérer vivre une fin de saison à la hauteur de leurs envies et de leur investissement. Une fin de saison qui ne passe ni par un maintien coûte que coûte, mais qui passerait bien par retrouver le parfum de la victoire pour se payer des efforts consentis. Et, avant même cela, par ce sentiment de rivaliser pendant une heure avec un adversaire qui n’est pas non plus à des années lumières en termes de jeu.
Face à Vergeze, un adversaire peu voire pas connu des visiteuses, l’objectif sera donc de mieux gérer le rythme de la partie et de ne pas s’exposer aux attaques adverses en multipliant les pertes de balles. Si une victoire serait évidemment la bienvenue, l’essentiel sera ailleurs lors de ce nouveau voyage : la bande à Durrieu voudra tenir son plan de jeu le plus longtemps possible et rester à portée de tir de leur adversaire pour tenter d’installer le doute. Car, si celui-ci venait à changer de camp, tout serait alors possible.
VERGEZE HB – SGHBC, samedi 29/03 à 21h.